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Gabon : Plusieurs élèves arrêtés pour vente, consommation et détention de drogue

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Togo/Militants anti-constitution arrêtés : Voici la date de leur procès

Libreville, la capitale du Gabon, a été le théâtre de l’arrestation de 13 élèves provenant de différentes écoles secondaires. Les jeunes, âgés de 16 à 25 ans, ont été appréhendés dans un bar situé à la plage du Tropicana en possession de diverses substances illicites, ouvrant ainsi la porte à des ennuis judiciaires.

Audition et détention à la prison centrale de Libreville.

Suite à leur arrestation, les élèves ont été soumis à des interrogatoires approfondis avant d’être placés en détention à la prison centrale de Libreville. L’enquête qui a suivi a révélé qu’ils étaient impliqués dans la vente, la consommation et la détention de substances telles que le Cannabis, le Tramadol, et des aphrodisiaques.

Confrontation devant le tribunal correctionnel Gabonais.

Face au tribunal correctionnel de la capitale, les 13 élèves ont dû répondre de leurs actes délictueux. Les chefs d’accusation incluaient la violation des lois régissant la vente et la détention de substances classées comme stupéfiants. Une situation qui pourrait leur valoir des sanctions sévères.

Réquisitions du ministère public : un an de prison ferme et une amende.

À l’issue de l’audience, le ministère public a préconisé au juge une condamnation à un an de prison ferme pour chacun des accusés, assortie d’une amende d’un million de FCFA, en vertu de l’article 208 du code pénal régissant ces délits.

Attentes des observateurs : des réquisitions jugées clémentes.

Certains observateurs estiment que le ministère public a fait preuve de clémence dans ses réquisitions, considérant la gravité des faits reprochés. Ils soulignent que des peines plus sévères auraient pu être demandées pour dissuader d’éventuelles futures infractions similaires.

Verdict attendu le 14 février 2024.

Le tribunal n’a pas encore rendu son verdict final. La décision du juge sera connue le 14 février 2024, date à laquelle la vie de ces élèves pourrait prendre un tournant décisif.

Lutte contre la délinquance juvénile et les violences en milieu scolaire.

Au-delà du cas individuel, les autorités judiciaires espèrent que ce procès servira d’exemple dissuasif pour d’autres élèves tentés par des comportements répréhensibles. Cette action vise également à contribuer à la lutte contre la délinquance juvénile et à prévenir les violences en milieu scolaire, soulignant l’importance de maintenir un environnement éducatif sain.

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