Burkina – Ibrahim Traoré : « Je ne vais plus manger de riz importé. Ça, c’est fini »

Le Burkina Faso, sous la direction du Président Ibrahim Traoré, se lance dans une campagne visant à promouvoir la consommation de produits locaux. Lors d’une récente rencontre avec le personnel présidentiel, Traoré a déclaré : « Je ne vais plus manger de riz importé. Ça, c’est fini », soulignant les efforts de son gouvernement pour soutenir les paysans locaux dans la production de riz et de maïs.

Soutien financier et initiative agricole

Le projet de soutien aux paysans vise à fournir un appui financier ainsi que des intrants et semences conçus par des chercheurs locaux. L’objectif est d’encourager les paysans à cultiver des superficies plus vastes, brisant ainsi le cercle vicieux des petites exploitations souvent imposées par des contraintes financières.

Des résultats surprenants et une croissance inattendue

Ibrahim Traoré partage les résultats encourageants du projet, révélant une expansion de la superficie cultivée de 11 mille à 15 mille hectares. Les paysans, auparavant contraints par des limitations financières, célèbrent cette nouvelle ère, anticipant une sécurité alimentaire accrue et une autonomie financière permettant de subvenir aux besoins de leurs familles.

Un appel à la continuité et à l’indépendance alimentaire au Burkina

Ibrahim Traoré considère les résultats actuels comme dépassant largement les attentes, témoignant de l’impact positif sur la vie quotidienne des citoyens. Il appelle à la poursuite de cette initiative, mettant en avant sa propre expérience : « Le riz ou le maïs que je mange, c’est ce que j’ai cultivé. Ça vient de la terre du Burkina et je ne vais plus manger du riz importé. Ça, c’est fini. » Une déclaration qui illustre le changement significatif vers l’autosuffisance alimentaire et la valorisation des productions nationales.

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