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USA : Les derniers mots d’un détenu au directeur avant son exécution vont vous choquer

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USA : Les derniers mots d’un détenu au directeur avant son exécution vont vous choquer
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Steven Lawayne Nelson a été exécuté mercredi soir au pénitencier d’État de Huntsville, au Texas, pour le meurtre du révérend Clint Dobson en 2011. Avant sa mort, Nelson a prononcé des mots qui ont choqué et intrigué les témoins présents : « C’est comme ça », puis a déclaré aux officiers : « Je n’ai pas peur. Je suis en paix. » En s’adressant au directeur, il a ajouté : « Partons, directeur. » À sa femme, il a conseillé de « profiter de la vie ». Ce calme apparent contrastait fortement avec la violence de son crime.

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Un meurtre brutal dans l’église NorthPointe

Le crime pour lequel Nelson a été condamné à mort remonte à 2011, lorsqu’il a tué le révérend Clint Dobson, âgé de 28 ans, à l’intérieur de l’église baptiste de NorthPointe à Arlington. Le pasteur a été battu, étranglé et asphyxié à l’aide d’un sac en plastique. La secrétaire du révérend, également attaquée, a miraculeusement survécu à cette agression brutale. Le mobile de l’assassinat était un vol, mais il s’est transformé en une tragédie humaine dévastatrice.

CSAF

L’exécution : une fin rapide et silencieuse

Après avoir été déclaré coupable, Steven Lawayne Nelson a été exécuté par injection létale. À 18 h 50 CST, il a été déclaré mort après que la dose mortelle de pentobarbital, un sédatif, lui ait été administrée. Ses derniers mots ont été : « Laissez-moi aller dormir. » À ce moment, la réaction de son corps a été brève mais intense : sa tête, ses épaules et ses bras ont tremblé avant que tout mouvement ne cesse. Il a été déclaré mort 24 minutes plus tard.

Un précédent dans l’histoire du Texas

L’exécution de Nelson marque la reprise des exécutions au Texas après un retard dans la procédure de Robert Roberson, dont l’exécution était initialement prévue pour le 17 octobre 2024. Ce retard aurait marqué la première exécution aux États-Unis liée à un diagnostic de syndrome du bébé secoué. La mort de Nelson, un acte final dans une longue lutte judiciaire, reste un sujet de débat intense aux États-Unis concernant la peine capitale.

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