Faits divers
Médias : Mark Zuckerberg, le PDG de Facebook, pourrait être condamné à la prison à vie !
Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook (aujourd’hui Meta), est la cible de violentes critiques de Donald Trump dans son nouveau livre à paraître, Save America. Dans certains extraits publiés par Politico, l’ancien président des États-Unis et candidat républicain à la présidentielle de 2024 accuse Zuckerberg de complot et le menace d’une peine de prison à vie.
Le ressentiment de Trump envers Zuckerberg n’est pas nouveau. En janvier 2021, après l’attaque du Capitole par ses partisans, l’ancien président a été suspendu de Facebook pour avoir incité à la violence. Cette suspension, qui a été l’une des décisions les plus médiatisées et controversées prises par les plateformes de réseaux sociaux, a duré deux ans avant que Trump ne soit finalement réintégré en janvier 2023. Toutefois, la réintégration ne semble pas avoir apaisé les tensions entre les deux hommes.
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Trump accuse Zuckerberg de jouer un rôle clé dans ce qu’il appelle « une conspiration visant à étouffer la liberté d’expression des conservateurs ». Selon lui, Zuckerberg aurait utilisé son pouvoir à la tête de Facebook pour influencer la sphère politique américaine, notamment en faveur des démocrates. Ces accusations, bien qu’elles soient largement réfutées par Meta, sont symptomatiques de la méfiance de Trump envers les grandes entreprises technologiques, qu’il considère comme des ennemies de sa liberté d’expression et de celle de ses partisans.
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L’ancien président n’hésite pas à menacer Zuckerberg de prison à vie, qualifiant ses actions de « sabotage contre la démocratie américaine ». Cette déclaration incendiaire intervient alors que Trump cherche à reconquérir la Maison Blanche et à mobiliser ses partisans en s’attaquant aux géants de la tech, qu’il accuse de censure systématique contre les voix conservatrices.
Les critiques de Trump envers Zuckerberg s’inscrivent dans une campagne plus large visant à dénoncer ce qu’il perçoit comme une collusion entre les plateformes de réseaux sociaux et les institutions démocrates. En plaçant Zuckerberg au centre de cette bataille, Trump semble vouloir galvaniser son électorat autour de la question de la liberté d’expression et des droits des conservateurs sur les plateformes numériques.
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Cependant, ces déclarations pourraient aussi avoir des implications légales et politiques, remettant en question la manière dont les entreprises technologiques modèrent les contenus sur leurs plateformes et leur rôle dans le débat public. Alors que la campagne présidentielle de 2024 s’intensifie, il est clair que le combat de Trump contre les géants de la tech, et contre Zuckerberg en particulier, continuera de faire la une des journaux.
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Avec Save America, Trump ne se contente pas de raconter son point de vue sur les événements récents, mais se positionne également comme le défenseur de ses partisans face aux géants de la technologie, qu’il accuse de partialité. Reste à voir comment ces attaques seront perçues par l’électorat et comment Zuckerberg et Meta réagiront aux menaces de l’ancien président.