Reportage de France 24 au CHU Sylvanus Olympio : David Dosseh ajoute une couche de peinture (Vidéo)

Le reportage de France 24 au CHU Sylvanus Olympio continue de susciter des réactions vives au Togo, surtout après les nouvelles déclarations du professeur David Dosseh, porte-parole du Front citoyen Togo debout. Ce dernier a souligné de nouveaux éléments accablants, mettant en lumière des conditions précaires persistantes malgré les efforts du gouvernement.

Une vérité dérangeante exposée

Lors du récent meeting de la société civile à Lomé, le Prof. David Dosseh a exprimé son indignation : « Demandez si les femmes qu’ils ont montré par terre ne sont pas au CHU de Tokoin. C’est un scandale. C’est scandaleux. » Cette déclaration reflète l’ampleur de la crise prolongée dans ce domaine spécifique de la santé publique.

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Une crise profonde et persistante

Le professeur Dosseh a insisté sur le fait que la situation décrite par France 24 n’était que la partie visible de l’iceberg. « Avez-vous regardé, comme moi, le reportage de France 24 sur le CHU Sylvanus Olympio ? Je suis médecin et j’ai honte pour mon pays », a-t-il exprimé avec émotion, soulignant le prolongement de la crise depuis plusieurs mois.

Des révélations choquantes

Le porte-parole a critiqué le manque de réaction anticipée des autorités : « France 24 a été indulgent dans son reportage. Ils ont dit que cela fait un mois que la situation perdure à la maternité du CHU Sylvanus Olympio. Mais en réalité, cela fait des mois que la situation est ainsi. » Il a déploré le manque d’action malgré les alertes préalables adressées au ministère de la Santé.

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Critiques et dénonciations

« C’est un manque de respect pour nos femmes et nos mamans », a-t-il dénoncé vivement. Le professeur Dosseh a également réfuté les accusations de fausses informations portées par certains responsables, dénonçant le manque de professionnalisme supposé des journalistes de France 24. « C’est du pilotage à vue. Ces gens n’ont aucune prévision », a-t-il ajouté, soulignant une gestion insuffisante de la crise sanitaire.

##France 24##

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