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Côte d’Ivoire : Victoire du parti au pouvoir (RHDP) lors des élections régionales et législatives
Après les élections municipales et régionales en Côte d’Ivoire, la Commission électorale indépendante (CEI) a dévoilé les résultats partiels, confirmant la prédominance du parti au pouvoir, le RHDP (Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix). Cependant, l’opposition a également enregistré des succès notables.
Côte d’Ivoire : Le Triomphe du RHDP lors des élections
Le RHDP a célébré des victoires significatives dans tout le pays. Amadou Koné, ministre des Transports, a été réélu maire de Bouaké, la deuxième plus grande ville de la Côte d’Ivoire, confirmant ainsi la confiance des électeurs en sa capacité à diriger.
Mariatou Koné, ministre de l’Éducation, a également remporté les élections à Boundiali, consolidant la présence du RHDP dans cette région.
D’autres ministres, tels que le ministre de la Défense, le ministre de l’Agriculture et la ministre de la Famille, ont également triomphé dans leurs circonscriptions respectives, renforçant ainsi la position du parti au pouvoir.
Et l’opposition politique ?
L’opposition a également enregistré des victoires significatives, notamment le PDCI, qui a remporté sept communes, dont Cocody et Daoukro. Ainsi, cette avancée marque une diversification du paysage politique ivoirien, avec des succès notables dans des régions autrefois solidement ancrées dans le camp du RHDP.
L’évaluation de la CEI et les contestations
La CEI a annoncé un taux de participation de 40% aux élections municipales, qualifiant le processus de « paisible ». Cependant, certaines contestations ont émergé concernant des allégations d’irrégularités. La CEI maintient que ces allégations n’ont pas compromis l’intégrité du scrutin, cherchant à rassurer la population quant à la validité du processus.
En résumé, les résultats des élections municipales et régionales en Côte d’Ivoire ont renforcé la position du RHDP tout en témoignant de la montée de l’opposition. Malgré des contestations, la CEI maintient la crédibilité du processus électoral.
