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Bobo Perita déféré à la prison civile de Lomé
Le nommé DZOTSI Kossi Elikplim alias Bobo Perita devra poursuivre ses actes contre-nature en prison. Ce jeune Togolais qui a choqué plus d’un, par son comportement sur les réseaux sociaux, a été finalement déféré à la prison civile de Lomé.
En effet, la Direction Centrale de la Police Judiciaire (DCPJ) avait mis la main sur Bobo Perita pour des raisons « d’outrage public à la pudeur et aux bonnes mœurs ».
Sur le réseau social TikTok, cet homosexuel a publié des nudes et fait des déclarations en contradiction avec les conventions sociales.
D’après la Police nationale, DZOTSI Kossi Elikplim a délibérément publié sur la toile, une vidéo dans laquelle « coiffé d’une perruque de femme, il exposait publiquement sa nudité, et imposait la vue de ses attributs sexuels qu’il secouait de manière suggestive. » Dans ladite séquence, il se présentait comme étant « madame Kossi » alors qu’il est un homme.
C’est ainsi que malgré les multiples avertissements, il n’a cessé de choquer et d’imposer son opinion contraire aux normes de la société. Bobo Perita prenait un vilain plaisir à mépriser la loi et à continuer ses actes contre-nature.
Bobo Perita face à la justice
Il convient de rappeler que DZOTSI Kossi Elikplim alias Bobo Perita avait été placé en garde vue par la DCPJ, la semaine dernière, pour « outrage public à la pudeur et aux bonnes mœurs ».
Des suites de cette mise aux arrêts, il a répondu de ses actes devant le procureur de la République près du Tribunal de Grande Instance de Lomé, puis déféré en prison ce 1er juin.
Que faut-il donc retenir ?
Cette situation dans laquelle se trouve le nommé DZOTSI Kossi Elikplim doit interpeller la jeunesse et surtout, ceux qui s’adonnent à des pratiques contre-nature sur les réseaux sociaux. Il faudrait que ces derniers sachent qu’ils sont libres de faire ce que bon leur semble, mais ils ne devraient pas oublier ce dicton :
« Ma liberté s’arrête là où celle des autres commencent ».
Les comportements indécents et illégaux sont punis par la loi au Togo. Qui s’oppose donc à la loi, s’expose à sa rigueur et se rapproche peu à peu du pénitencier.
