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« Ton gars, c’est peut-être mon gars » : Le groupe WhatsApp qui enflamme le Togo
Un nouveau phénomène enflamme Lomé, faisant réagir la toile togolaise avec amusement et controverse.
Un groupe de démasquage des infidèles
Depuis quelques jours, un groupe WhatsApp baptisé « Ton gars, c’est peut-être mon gars » fait fureur dans la capitale togolaise. Ce groupe, qui se veut une initiative de justice amoureuse, permet aux femmes de vérifier la fidélité de leurs partenaires. Le principe est simple : une femme envoie la photo de son compagnon et les autres membres du groupe vérifient s’il fréquente également l’une d’entre elles.
Cette méthode a déjà permis de révéler de nombreux cas d’infidélité, confirmant ainsi l’utilité et l’impact de ce groupe sur les relations amoureuses à Lomé.
Une tendance au-delà du Togo
Né initialement au Gabon, le concept s’est rapidement exporté dans d’autres pays africains, notamment au Cameroun, au Congo, en Côte d’Ivoire et en Mauritanie. Sous des noms légèrement modifiés comme « Ton gars, c’est sûrement mon gars », ce phénomène prend de l’ampleur dans plusieurs capitales africaines.
Un mouvement qui divise
Si ce groupe est salué par certaines femmes comme un moyen de lutter contre l’infidélité, il ne fait pas l’unanimité. Certains hommes trouvent l’initiative amusante, tandis que d’autres y voient une menace directe à leur vie privée, dénonçant une atteinte à leur liberté et leur dignité.
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La réalité de la tromperie
Au-delà des opinions divergentes, il est indéniable que ce groupe met en lumière une réalité sociale : la prévalence de l’infidélité dans les relations amoureuses. Que ce phénomène continue à s’étendre ou qu’il finisse par s’éteindre, il aura certainement marqué une époque où la transparence dans les relations devient une revendication majeure pour certaines femmes en Afrique.
Arnold
16 septembre 2024 au 12h56
Je salue cette initiative et je prie que le Seigneur permette que l’objectif soit atteint.
Cela qui a eu l’initiative soit richement bénie
Marcellin
16 septembre 2024 au 14h04
C’est bien mais cela peut être une occasion des malhonnête pour nuire et détruire des couples.
BAKITA DOUKAGA serge
16 septembre 2024 au 21h13
Ton gars c’est mon gars