Togo/Litige foncier à agbelouvé : Les forces armées togolaises pointées du doigt

À Agbelouvé, dans la commune de Zio 3, au Sud du Togo, persiste un litige foncier malgré des jugements et une décision en faveur de la collectivité AKOTO, propriétaire d’un domaine de 1 163 hectares. Les litiges fonciers perdurent, mettant Agbélouvé au bord de l’explosion.

Malgré les décisions de la Cour suprême en faveur d’AKOTO, des collectivités rivales, soutenues par des hauts gradés des Forces Armées Togolaises (FAT), continuent de semer le trouble sur le domaine. Les acquéreurs, Togolais de la diaspora, dénoncent l’influence des officiers supérieurs, citant ABALO Kodjovi et ses frères comme bénéficiaires d’un soutien militaire.

Les fauteurs de troubles, dont ABALO Kodjovi, ont été arrêtés à plusieurs reprises, mais leur libération, orchestrée par des officiers supérieurs, compromet l’application des décisions judiciaires. Les acquéreurs s’indignent du trafic d’influence qui entrave la résolution juste des litiges fonciers au Togo.

Le nom de la famille TANI émerge parmi les perturbateurs, héritant des pratiques illégales de feu Yovo. Les autorités civiles et militaires, tapis dans l’ombre, exacerbent la situation, menaçant les projets de développement de la diaspora.

Les propriétaires terriens appellent le premier magistrat du Togo à intervenir, réclamant la restitution de leurs biens et exhortant les officiers militaires à entendre raison pour prévenir une crise imminente à Agbelouvé. Djaga Naka, un Togolais de la diaspora, souligne l’impact de ces injustices sur les projets de développement initiés aux États-Unis.

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