Mission secrète : Sarkozy à Abidjan pour éviter un quatrième mandat d’Ouattara

Emmanuel Macron semble jouer une partie stratégique en Afrique de l’Ouest. Selon des sources, il aurait envoyé Nicolas Sarkozy à Abidjan dans le but de persuader Alassane Ouattara de ne pas se présenter pour un quatrième mandat en 2025. Cette démarche témoigne de l’inquiétude croissante du gouvernement français concernant la stabilité politique en Côte d’Ivoire, un pays clé pour l’équilibre de la région.

Un atout politique dans la mission

En désignant Sarkozy pour cette mission, Macron mise sur les relations personnelles qu’entretient l’ancien président avec Ouattara. L’idée est de capitaliser sur cette proximité pour initier un changement de leadership en Côte d’Ivoire. Henri Konan Bédié, figure emblématique du PDCI-RDA, serait le successeur idéal pour maintenir la continuité tout en évitant des tensions au sein du paysage politique.

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Le retour d’un ancien président

Sarkozy, qui a joué un rôle crucial dans la résolution de la crise ivoirienne en 2010-2011, revient sur la scène africaine avec un nouveau défi. En tant que « sage conseiller », il devra naviguer dans un contexte complexe, car les intentions d’Ouattara restent floues. La réaction de ses partisans face à une éventuelle annonce de renoncement pourrait en effet menacer l’équilibre politique actuel.

Une mission surveillée de près

Les autorités françaises surveillent attentivement le déroulement de cette mission. L’Élysée espère que l’expérience et la notoriété de Sarkozy contribueront à éviter une nouvelle crise en Côte d’Ivoire. Les enjeux sont élevés : un déclin de la stabilité dans ce pays pourrait avoir des répercussions sur l’ensemble de l’Afrique de l’Ouest.

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Perspectives d’avenir

La mission de Sarkozy à Abidjan pourrait marquer un tournant dans la dynamique politique de la Côte d’Ivoire. Alors que le pays se prépare pour des élections cruciales, la question de la succession d’Ouattara reste ouverte. Une transition pacifique vers une nouvelle génération de dirigeants est souhaitée par l’Élysée, mais la route reste semée d’embûches.

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