Togo /Deux maires décèdent en 48 heures : Une double tragédie pour les communes

Le Togo est en deuil après la perte de deux maires en seulement 48 heures, une situation qui plonge les communes d’Agoè-Nyivé 2 et de Golfe 6 dans une profonde tristesse. Ces disparitions successives suscitent des interrogations et une vive émotion à travers le pays.

Une Double Disparition Inattendue

Le mardi 21 janvier 2024, Djabakou Koffi Bollor, maire de la commune d’Agoè-Nyivé 2, s’est éteint après avoir lutté pendant plusieurs mois contre une maladie. Élu lors des municipales de 2019, il était reconnu pour son engagement en faveur du développement local et son dévouement à sa communauté.

Cette tragédie survient à peine 24 heures après le décès de Jean-Baptiste Dagbovi, maire de la commune de Golfe 6. Ce dernier, figure emblématique de Baguida, a succombé de manière inattendue dans l’après-midi du lundi 20 janvier 2024, laissant un grand vide dans sa localité.

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Une Onde de Choc Nationale

La coïncidence temporelle de ces deux pertes a bouleversé la population togolaise. Les habitants d’Agoè-Nyivé 2 et de Golfe 6 se disent abasourdis par ces départs soudains de leurs édiles, qui jouaient un rôle central dans le dynamisme et la gestion de leurs communes respectives. Sur les réseaux sociaux et dans les médias locaux, les témoignages d’hommages affluent, traduisant l’ampleur du choc collectif.

Une Série Noire Chez les Responsables Locaux

Ces deux décès viennent s’ajouter à une série de disparitions ayant affecté plusieurs responsables communaux ces dernières années. Cette accumulation alarme les observateurs et soulève des interrogations sur les conditions de travail et la pression qui pèsent sur les élus locaux dans le pays.

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Des Funérailles Attendues avec Émotion

Les communes d’Agoè-Nyivé 2 et de Golfe 6 préparent des hommages à la hauteur de l’impact laissé par ces deux figures majeures. Les cérémonies devraient rassembler des autorités locales, des habitants et des proches, témoignant du respect et de l’affection dont bénéficiaient les deux maires.

La disparition de Djabakou Koffi Bollor et de Jean-Baptiste Dagbovi rappelle la fragilité des vies humaines et l’importance de soutenir ceux qui œuvrent pour le bien collectif.

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