États-Unis : la candidate Kamala Harris atteinte d’une maladie sérieuse

Aux États-Unis, la vice-présidente Kamala Harris, également candidate démocrate à la prochaine élection présidentielle, fait l’objet de spéculations concernant son état émotionnel. Une psychiatre américaine, Carol Lieberman, a affirmé dans une interview avec le New York Post que Harris souffrirait du « syndrome de l’imposteur ». Ce diagnostic met en lumière des doutes persistants que la candidate pourrait avoir sur ses compétences à occuper une fonction aussi élevée.

Les signes visibles d’une anxiété croissante

Selon la psychiatre, les signes d’anxiété de Kamala Harris sont de plus en plus visibles. Lors de ses apparitions publiques, elle aurait du mal à cacher ses émotions. Lieberman mentionne les « gloussements », les « grimaces » et les « grands mouvements de la main » comme des manifestations de cette anxiété. Ces comportements, qui attirent parfois l’attention des médias, pourraient être liés à un manque de confiance profond face aux responsabilités de la campagne présidentielle.

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Un effort pour masquer les doutes en public

Lors du débat du 10 septembre contre Donald Trump, Harris semble avoir fait des efforts pour dissimuler ses réactions nerveuses. Si ses gloussements ont été moins présents, Lieberman explique que cela a été compensé par une plus grande expressivité faciale, notamment des grimaces plus prononcées. Cela met en lumière les difficultés auxquelles elle pourrait faire face lorsqu’elle est sous pression.

Le syndrome de l’imposteur : une explication clinique

Le « syndrome de l’imposteur » dont souffrirait Kamala Harris, selon Lieberman, est une condition psychologique qui affecte ceux qui, malgré leurs succès, ont le sentiment de ne pas mériter leur position. Harris, bien qu’ayant gravi les échelons jusqu’à devenir vice-présidente, pourrait douter de sa capacité à mener une campagne présidentielle, ce qui expliquerait ses manifestations d’anxiété.

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L’impact potentiel sur la campagne présidentielle

Si cette évaluation de la psychiatre est correcte, le syndrome de l’imposteur pourrait avoir des répercussions importantes sur la campagne de Kamala Harris. À un moment où la confiance et l’assurance sont des qualités clés pour un candidat, ces doutes pourraient affaiblir sa position et influencer les électeurs. Seul le temps dira si Harris parviendra à surmonter cette bataille intérieure pour convaincre le public américain.

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